
Fille noire fille blanche de Joyce Carol OATES
Au coeur des années 1970, dans un collège prestigieux, se rencontrent Genna, descendante du fondateur du collège, et Minette Swift, fille de pasteur, boursière afro-américaine, venue d'une école communale de Washington. Genna n'aura de cesse qu'elle protége Minette de la discrimination raciale des autres étudiantes.
L’Immense romancière américaine nous régale encore une fois.
Comme très souvent, son sujet véritable ne se révèlera que petit à petit : au-delà de la discrimination raciale, il s’agit surtout de montrer l’autodestruction de deux jeunes filles, victimes des idéologies transmises par leurs parents. Et finalement les héroïnes de Joyce Carol Oates ne sont ni tout à fait blanches ni tout à fait noires, mais toutes en nuances
Lark et Termite de Jayne Ann PHILIPPS
Quatre voix, provenant de la Corée du Sud en 1950 et de la Virginie occidentale en 1959, révèlent des secrets d'aliénation, de solitude, de paternité et de filiation : celle du soldat Leavitt à l'agonie, celle de Nonie, sa belle-soeur, qui a élevé sa nièce et son neveu, celle de Lark, une adolescente qui veut garder près d'elle Termite, son frère handicapé mental et moteur, et celle de Termite.
Attention : ce roman est une pure merveille : il mérite largement que l’on s’accroche un peu au début.
Ce récit polyphonique où les sensations règnent en maitres, où la générosité et l’amour triomphent de la haine et de guerre fait évidemment penser à Faulkner et s’inscrit dans la lignée des grands romans du Sud
Au coeur des années 1970, dans un collège prestigieux, se rencontrent Genna, descendante du fondateur du collège, et Minette Swift, fille de pasteur, boursière afro-américaine, venue d'une école communale de Washington. Genna n'aura de cesse qu'elle protége Minette de la discrimination raciale des autres étudiantes.
L’Immense romancière américaine nous régale encore une fois.
Comme très souvent, son sujet véritable ne se révèlera que petit à petit : au-delà de la discrimination raciale, il s’agit surtout de montrer l’autodestruction de deux jeunes filles, victimes des idéologies transmises par leurs parents. Et finalement les héroïnes de Joyce Carol Oates ne sont ni tout à fait blanches ni tout à fait noires, mais toutes en nuances

Quatre voix, provenant de la Corée du Sud en 1950 et de la Virginie occidentale en 1959, révèlent des secrets d'aliénation, de solitude, de paternité et de filiation : celle du soldat Leavitt à l'agonie, celle de Nonie, sa belle-soeur, qui a élevé sa nièce et son neveu, celle de Lark, une adolescente qui veut garder près d'elle Termite, son frère handicapé mental et moteur, et celle de Termite.
Attention : ce roman est une pure merveille : il mérite largement que l’on s’accroche un peu au début.
Ce récit polyphonique où les sensations règnent en maitres, où la générosité et l’amour triomphent de la haine et de guerre fait évidemment penser à Faulkner et s’inscrit dans la lignée des grands romans du Sud
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