Visionnant ce film dès son apparition sur Netflix, sans chercher plus loin, je découvre au générique de fin que le réalisateur est Noah Baumbach. J'ai vu, je pense, tous ses films, et il semble de plus en plus s'éloigner de la veine que je préfère, celle de l'analyse des couples et de la famille ( Marriage Story , Les Berkman se séparen t) ou des personnalités singulières comme Frances Ha ou Greenberg . Barbie ne m'a pas plu mais m'a quand même intéressée, alors que là, quelle déception ! Comment a-t-il pu entraîner George Clooney, Adam Sandler, Laura Dern et beaucoup d'autres excellents acteurs dans une telle balourdise... : Enfilade de clichés que cette histoire d'acteur vieillissant qui, se retournant sur sa vie, se rend compte qu'il a sacrifié sa famille à son ambition. Enfilade de clichés encore lorsque Jay se lance à la poursuite de sa fille partie dans un tour d'Europe, avec une mention spéciale au voyage en train vers l'Italie, succe...
J'inaugure un nouveau format de post, Lecture en cours. Le principe, donner ses premières impressions sur un livre qu'on commence à lire. Il aura droit, sauf exception, à sa critique complète et c'est intéressant de confronter son sentiment initial à celui qu'on éprouve à la dernière page. Surtout que le roman que je débute est un pavé de 1 200 pages, j'en suis à la 150ème. Ce roman d'une brillante journaliste américaine commence fort avec un préambule racontant l'enlèvement d'un magnat industriel juif de Long Island, Carl Fletcher. La famille se regroupe pour faire face, sa femme, sa mère et sa belle-mère, en essayant d'épargner les deux jeunes fils. Echec total puisque le roman, une fois cet évènement résolu en quelques pages, se concentre sur le plus jeune des fils devenu adulte. Bernard, surnommé Beamer, est manifestement tellement traumatisé que tous ses fantasmes tournent autour de scénarios d'enlèvement, réalisés chaque semaine dans des c...